Le village de Mallam Boulamari avec ses 1700 âmes n’arrive pas à subvenir réellement à ses besoins en eau. Il y a deux puits type OFEDES dans le village alors que les normes nationales exige un point d’eau type PEM pour 250 habitants. Aussi les femmes souffrent de la corvée de l’eau avec le village qui grandit. La communauté utilise, pendant la saison pluvieuse et en période de forte chaleur, les eaux stagnantes. Elle est fortement exposée aux risques de maladies d’origine hydrique occasionnant de ce fait des troubles gastriques, diarrhées, dysenteries des complications ophtalmologiques. Relevons de même d’autres contraintes majeures liées au système d’exhaure du puits déjà existant. Malgré l’existence d’un comité de gestion, les populations surtout les femmes n’arrive pas à organiser la collecte de l‘eau et subvenir à certaines taches domestiques. A cela s’ajoute la concentration des animaux aux heures de pointe L’ouvrage qui a une quinzaine d’année. Aussi le forage du CSI qui n’est pas accessible à tout le monde présente une eau de bonne qualité mais dont le gout n’est pas accepté par la population. Selon els dernier sondage les populations, à défaut d’une mini AEP souhaiterai bénéficier d’un forage et ensuite négocier les équipements complémentaires afin d’accéder à la Mini AEP.

Le village de Mallam Boulamari compte une population estimée à 1700hts, avec des infrastructures suivantes.
- un (1) centre de sante intégré (CSI)
- une école à plusieurs niveaux
- un marché hebdomadaire

Le village dispose de deux (2) puits cimentés villageois qui sont peu productif qui n’arrive pas à couvrir les besoins en eau du village, d’où un attroupement des Femmes autour des puits

L'Objectif global du projet estde permettre aux populations locales, surtout les femmes et les enfants, d’avoir l’accès permanent à l’eau potable par la réalisation d’un forage de type PMH et la redynamisation et la formation d’un comité de gestion.